Cliquez ici >>> đŸȘ† qui est la femme de bernard poirette

pourcentagecouples qui se remettent ensemble; lĂ©gende amĂ©rindienne Ă©toile; sĂ©rie dktv. johann zarco origine parents; anesthĂ©siste hĂŽpital gonesse; demander a une fille d'etre en couple par Lajeune femme avait alors 19 ans et Ă©tait secrĂ©taire de l'une des entreprises de Bernard Tapie, qui dĂ©butait sa carriĂšre d'entrepreneur, Ă  26 ans. Un jour, Dominique, danseuse de formation joyeuxanniversaire Ă  la plus belle; qcm sur les fonctions 3Ăšme; Menu. dans le ventre du cheval de troie chapitre 2; casting doublage voix disney 2020; lou rugby Ă©quipe; salaire directeur de cabinet collectivitĂ© territoriale; vitesse max moto 150cc ; matĂ©riel fitness occasion; bernard poirette habite marseille LInterview de la matinale : HaĂŻm Korsia, Grand Rabbin de France, notre invitĂ© dans Les Matins LCI. PubliĂ© le 9 aoĂ»t 2022 Ă  8h51. L’Interview - Professeur Enrique Casalino, BernardGuetta, spĂ©cialiste en gĂ©opolitique, eurodĂ©putĂ© "Renew Europe" et ancien correspondant du Monde Ă  Moscou, Ă©tait l’invitĂ© de BFMTV ce mercredi soir. Photo Homme Pour Site De Rencontre. 15h00 , le 5 octobre 2018 Bernard Poirette ne se souvient pas d'un samedi ou d'un dimanche passĂ© Ă  flĂąner. Trente-quatre ans - dont dix-neuf seul Ă  la prĂ©sentation - que ce matinalier de la radio passĂ© cet Ă©tĂ© de RTL Ă  Europe 1 confectionne des journaux le week-end. À Marseille, oĂč il vit, les contrĂŽleurs de la gare Saint-Charles ont longtemps cru que cette silhouette pressĂ©e qui s'engouffre chaque mercredi soir dans un TGV pour "monter" Ă  Paris Ă©tait celle d'un VRP. Les journalistes de RTL voyaient dĂ©barquer dans la rĂ©daction un type Ă©trange avec sa valise, comme en transit. "Une vie de taupe", confesse en souriant ce bourreau de travail qui dit avoir choisi le journalisme pour tromper un mal permanent "l'ennui."Une enfance Ă  lire La Voix du NordLa radio est une vraie liturgie chez les Poirette. Quand il Ă©tait enfant, un transistor branchĂ© en permanence sur RTL trĂŽnait sur le buffet de l'appartement familial, Ă  Lille. Et chaque matin tombait dans la boĂźte aux lettres La Voix du Nord, qu'Ă©pluchait religieusement le jeune Bernard. Cette vocation le conduira Ă  l'Ă©cole supĂ©rieure de journalisme de Lille, oĂč il consacre en 1981 son mĂ©moire Ă  Pierre Goldman, activiste d'extrĂȘme gauche devenu gangster, assassinĂ© deux ans plus tĂŽt. "C'Ă©tait une Ă©poque bĂ©nie, se souvient Poirette. Il suffisait de frapper Ă  la porte d'une rĂ©daction pour trouver un job."À vingt ans, il part s'acheter en Suisse un Nagra d'occasion le mythique magnĂ©tophone portatif des reporters de radio, puis dĂ©croche des piges Ă  FrĂ©quence Nord, institution du paysage audiovisuel local. De lĂ , il gagne ensuite RTL, oĂč il entre en 1984 par une petite porte, comme correspondant Ă  ­Bordeaux."C'Ă©tait une Ă©poque bĂ©nie. Il suffisait de frapper Ă  la porte d'une rĂ©daction pour trouver un job"Au printemps 1989, Bernard ­Poirette quitte la Gironde pour Moscou afin de suivre sa ­compagne, journaliste Ă  l'AFP. Son spectre s'Ă©largit la place Tian'anmen, les dĂ©buts de la perestroĂŻka, la chute de l'URSS... Plus l'histoire s'emballe, plus le journaliste s'emballe. "Humainement, Ă©motionnellement et professionnellement, j'ai cochĂ© toutes les cases", libre au sang chaudEn 1991, c'est vers Washington qu'il s'envole, une nouvelle fois avec sa moitiĂ©, aprĂšs que le directeur de la rĂ©daction de RTL, Olivier Mazerolle, lui a concoctĂ© un contrat sur mesure, avec un statut de "doublure" du correspondant aux États-Unis. "Comme il m'Ă©tait apparu trĂšs vite que ce journaliste dynamique avait de l'allant et du ­talent, j'ai fait en sorte que tout puisse s'emboĂźter", se rappelle Mazerolle. AprĂšs feu vert de Philippe Labro en personne, alors patron de la station, il est engagĂ©. "Je n'ai pas hĂ©sitĂ©, confirme Labro, car c'est une voix comme il y en a peu, humaine, chaude, enveloppante
 Ce qu'on appelait, Ă  l'Ă©poque, une 'voix RTL'. Mais c'est aussi un journaliste capable de synthĂ©tiser et de mettre en perspective l'info comme rarement.""C'est une voix comme il y en a peu, humaine, chaude, enveloppante
 "Que s'est-il passĂ© pour que cette "voix" dĂ©cide soudain de changer de voie? Au cƓur de l'Ă©tĂ©, Poirette a dĂ©cidĂ© de rompre avec la radio dont il Ă©tait l'un des piliers. C'est lui qui a contactĂ© Laurent Guimier, le directeur d'Europe 1 groupe LagardĂšre, propriĂ©taire du JDD, et non l'inverse. "Le rachat de RTL par M6 ne me plaisait pas, confie-t-il. J'ai subodorĂ© que l'entreprise allait changer, que plus rien ne serait comme avant." Il exprime ses rĂ©ticences au sein de la rĂ©daction. BientĂŽt, la direction envisage de lui confier un autre poste. Les choses se dĂ©litent jusqu'Ă  la rupture - "dans des conditions, notamment financiĂšres, que j'estime inacceptables", prĂ©cise Poirette, qui dit avoir saisi les prud'hommes pour demander que son dĂ©part soit requalifiĂ© en licenciement collĂšgues de RTL le dĂ©crivent comme un caractĂšre bien trempĂ©, un Ă©lectron libre au sang chaud. Lui dĂ©plore "des maniĂšres et un dĂ©part [qui l'ont] profondĂ©ment affectĂ©, bouleversĂ©". Il assure n'avoir jamais Ă©coutĂ© Europe 1 avant d'y poser sa valise, Ă  la fin aoĂ»t, mais dit y avoir dĂ©jĂ  trouvĂ© ses marques. "J'ai dĂ©couvert une maison agrĂ©able Ă  pratiquer et un rĂŽle d'anchorman lĂ©gĂšrement diffĂ©rent de celui que j'avais sur RTL, mais dans la continuitĂ© du mĂ©tier tel que je l'ai toujours exercĂ© rue Bayard, explique-t-il, toujours bonhomme. Wendy Bouchard m'a laissĂ© une tranche en bon Ă©tat. Je vais essayer de ne pas la fusiller..." Il prĂ©cise qu'Europe 1 lui a offert "des conditions de travail [qu'il n'a] pas eues en vingt ans de RTL.""Surtout, ne change rien!", lui a donnĂ© pour seule consigne ­Laurent Guimier Ă  son arrivĂ©e. Trois semaines ont passĂ© et certains parmi les proches de Poirette lui ont demandĂ© s'il avait vraiment changĂ© d'antenne. M le mag TĂ©lĂ©visions & Radio Bernard Poirette, Christian Morin, Guillaume Durand
 AprĂšs de brillantes carriĂšres, plusieurs grandes voix de la radio coulent des jours paisibles sur cette antenne old school », note notre chroniqueuse. PubliĂ© le 12 septembre 2020 Ă  08h30 Temps de Lecture 3 min. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s À la rentrĂ©e, le journaliste Bernard Poirette, animateur de la matinale du week-end de RTL pendant des annĂ©es, puis de celle d’Europe 1, est arrivĂ© Ă  Radio Classique. Tout comme Franck Ferrand, David Abiker et tous les poussĂ©s vers la sortie » d’Europe 1 avant lui. Pas plus d’ailleurs que pour la venue de Laurence Ferrari, deux ans plus tĂŽt, personne n’a employĂ©, pour Ă©voquer ces mouvements, le mot mercato » ; le terme n’est jamais associĂ© Ă  Radio Classique, qui rĂ©cupĂšre depuis quelques annĂ©es les noms Ă©jectĂ©s des grands mĂ©dias et soucieux de continuer Ă  travailler. En plus de mercato, d’autres vocables ne sont jamais utilisĂ©s s’agissant de cette station buzz ou clash, par exemple. C’est une radio dont on parle peu, une radio qui prĂ©fĂšre ne pas ĂȘtre Ă  la page, une radio sans polĂ©mique ni agressivitĂ©, sans sarcasme ni moquerie. InstallĂ©e dans un petit appartement bourgeois du quartier de Miromesnil, Ă  Paris, on s’y adresse Ă  des gens bien Ă©levĂ©s, qui pourraient ĂȘtre assis dans les canapĂ©s du petit vestibule. Lire aussi L’arrivĂ©e d’Eric Zemmour Ă  Radio Classique provoque le dĂ©part de l’éditorialiste Maurice Szafran À l’antenne de ce MusĂ©e GrĂ©vin des ondes, de nombreux noms connus pour avoir rĂ©volutionnĂ© leurs mĂ©dias dans les annĂ©es 1980 Guillaume Durand, Christian Morin, Ève RuggiĂ©ri
 Une petite rĂ©daction d’animateurs qui ont vieilli en mĂȘme temps que leurs auditeurs. Souvenir d’une Ă©poque qui nous semble moins imprĂ©visible qu’aujourd’hui, notamment parce qu’elle est rĂ©volue. C’est une station rĂ©confortante pour tous ceux qui ne comprennent rien Ă  TikTok ; le classique de Radio Classique ne s’applique pas qu’à la musique. On ne s’y sent pas dĂ©calĂ© quand le nouveau monde vous Ă©chappe. On en oublierait presque que le temps a passĂ© s’il n’y avait toutes ces publicitĂ©s pour des contrats d’assurance dĂ©cĂšs, des sites de rencontres destinĂ©s aux seniors, des voitures et toutes ces choses qu’on s’achĂšte aprĂšs 50 ans. A quoi on les reconnaĂźt Tous ont dĂ©jĂ  eu une grande carriĂšre, que personne n’ignore. MĂȘme la gĂ©nĂ©ration de Christine Clerc trouve que ça manque de femmes parmi ceux qui viennent commenter l’actualitĂ©. Ils se distinguent Ă  leur maniĂšre d’indiquer le nom des Ɠuvres en dĂ©but et en fin de morceau sans prĂ©sumer que vous les connaissez dĂ©jĂ , mĂȘme s’il s’agit de La Lettre Ă  Élise. Comment ils parlent Les animateurs Quand j’y suis allĂ© la premiĂšre fois, je suis tombĂ© sur Guillaume Durand, un ancien camarade. » Il n’y a pas cette espĂšce de rivalitĂ© sournoise et mĂ©diocre que l’on trouve ailleurs. » Ça reste distinguĂ©. » C’est feutrĂ©, trĂšs aimable. » J’ai eu l’impression de rejoindre un club chic et Ă©lĂ©gant, sans hystĂ©rie, en rupture avec le mode de fonctionnement actuel. » MĂȘme les choses dĂ©sagrĂ©ables se disent avec courtoisie. Philippe Tesson Ă  propos d’Emmanuel Macron Il est trĂšs intelligent et trĂšs agrĂ©able, mais c’est une bouillie, ses idĂ©es. » Les slogans de la radio Les plus belles Ɠuvres, les plus grands compositeurs », Radio Classique et votre journĂ©e devient plus belle ». Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Radio & Podcasts 3 minutes Ă  lire PubliĂ© le 19/02/21 mis Ă  jour le 29/06/21 Partager Photo Jean-Francois Robert pour TĂ©lĂ©rama. ArrivĂ© l’étĂ© dernier en tant que joker de Guillaume Durand aprĂšs avoir Ă©tĂ© remerciĂ© par Europe 1, le journaliste a prĂ©sentĂ© ce matin sa derniĂšre matinale. Retour sur ce dĂ©part trĂšs soudain qui Ă©tonne jusque dans les rangs de la station. On espĂšre que les auditeurs et auditrices de Radio Classique n’ont pas avalĂ© leur cafĂ© de travers, en Ă©coutant ce matin, comme tous les vendredis matin depuis septembre, le matinalier Bernard Poirette. Sans prĂ©venir, Ă  la fin de sa chronique littĂ©raire conseillant le roman Bluebird, Bluebird de la Texane Attica Locke, le journaliste a fait ses adieux, sans cĂ©rĂ©monie J’en profite pour vous dire que c’était mon dernier conseil de lecture et ma derniĂšre matinale, sur Radio Classique. Sachez que j’ai Ă©tĂ© ravi de vous accompagner ces sept derniers mois. C’est bien court, mais c’est ainsi. La vie continue ! » Bien court, c’est le mot. ArrivĂ© l’étĂ© dernier en tant que joker de Guillaume Durand aprĂšs avoir Ă©tĂ© remerciĂ© par Europe 1, le journaliste n’aura donc mĂȘme pas passĂ© une saison entiĂšre sur l’antenne dirigĂ©e par Jean-Francis PĂ©cresse. L’ancienne voix de RTL a appris qu’on ne souhaitait plus le revoir au micro la veille de sa derniĂšre matinale, comme il l’expliquait tĂŽt ce matin dans un mail Ă  ses collĂšgues, que nous avons pu consulter La direction de Radio Classique m’a fait savoir hier, sans rĂ©elle explication convaincante, que je prĂ©senterais ma derniĂšre matinale ce vendredi 19 fĂ©vrier 2021. Sachez que j’en suis absolument dĂ©solĂ© », Ă©crit-il. Aucun mauvais retour DĂ©but janvier, la direction de la station lui a fait savoir que son contrat ne serait pas renouvelĂ© aprĂšs son terme – le 9 juillet. Les raisons invoquĂ©es sont alors financiĂšres. Radio Classique, avec la crise du covid, a vu ses recettes publicitaires chuter. Jean-Francis PĂ©cresse m’a donc expliquĂ© qu’il devait faire de grosses Ă©conomies budgĂ©taires, et je l’ai compris », nous raconte Bernard Poirette au tĂ©lĂ©phone. Mais ce jeudi, surprise. La recrue de septembre a le droit Ă  une derniĂšre matinale, mais devra ensuite quitter l’antenne. Bernard Poirette “Le micro est une prolongation de moi” Elise Racque Difficile, cette fois, d’invoquer les problĂšmes de sous Bernard Poirette reste salariĂ© de la station et sera payĂ© jusqu’à la fin de ce contrat – plus de quatre mois rĂ©munĂ©rĂ©s sans ĂȘtre Ă  l’antenne, donc. Je n’avais eu aucun mauvais retour », regrette le journaliste, interloquĂ©. ContactĂ©s, deux salariĂ©s tĂ©moignent de leur surprise » Ses relations avec les Ă©quipes me semblaient bonnes », souligne l’un. On est un peu sonnĂ©s », confie l’autre. Difficile de faire la lumiĂšre sur les raisons de cette dĂ©cision. Son ton ne conviendrait plus », croit-on deviner en interne. Auditeurs incrĂ©dules Renaud Blanc va reprendre le poste de joker de Guillaume Durand, qu’il assurait avant le recrutement de Bernard Poirette. RĂ©tropĂ©dalage donc, pour une matinale aux audiences plutĂŽt stables. RTL en 2018, Europe 1 en 2020, Radio Classique en 2021
 RemerciĂ© de trois radios en trois ans, l’ancien correspondant Ă  Moscou et Ă  Washington est las Quand j’ai dĂ©couvert Radio Classique, ça m’a bien plu. Je comptais y rester plus d’une saison », nous dit-il depuis Marseille. La vie continue », a-t-il lancĂ© aux auditeurs. OĂč ? Je n’ai pour l’instant que la retraite en ligne de mire, mais qui sait ? » Fin de carriĂšre, peut-ĂȘtre, pour cette cĂ©lĂšbre voix de la radio française, Ă©coutĂ©e pendant plus de trente ans par les fidĂšles de RTL. Dur Ă  avaler, pour le fanclub de ses auditeurs qui fait part depuis ce matin de son incomprĂ©hĂ©nsion, sur le groupe Facebook qui les rĂ©unit mille six cents membres, tout de mĂȘme. Dans leurs commentaires déçus, un mot revient Pourquoi ? » SollicitĂ©e, la direction de Radio Classique n’a pas souhaitĂ© rĂ©pondre Ă  cette question. Une souris verte bien attrapĂ©e, un village englouti, des transports nocturnes... les meilleurs podcasts de la semaine L'actu de la radio Matinales radio Radio Classique Bernard Poirette Partager Contribuer 18 Avr qui est la femme de bernard poirette Vu ce contexte Ă©conomique, la retraite forcĂ©e Ă©tait une option. A l'origine, j'ai contactĂ© les patrons de Radio Classique pour leur proposer une chronique sur les polars, une de mes marottes. Bernard Poirette Malade. Bernard Tapie, aujourd’hui atteint d’un cancer de l’estomac, n’a eu que deux femmes dans sa vie au delĂ  de son amour Ă©ternel pour sa maman. Et ils m'ont dit qu'ils avaient mieux pour moi », explique celui qui a appris en mai que son contrat de deux ans avec Europe 1 ne serait pas reconduit. 2 3152. Tops et flops l'actu des stars en images ... Bernard Laporte et son Ă©pouse depuis 2011, Manon, sont heureux et amoureux. Mais l’histoire s’est 
 Ancienne voix emblĂ©matique d'RTL, Bernard Poirette Ă©tait arrivĂ© il y a deux ans Ă  la matinale du week-end d'Europe 1. La radio nous rappelle qu’une voix est une vraie signature. Et il le sait. Une dĂ©cision prise pour des raisons financiĂšres, selon le journaliste. Cette grande passionnĂ©e de brocante quittera Paris pour faire vivre aux auditeurs de la station l’un des Ă©vĂ©nements les plus emblĂ©matiques de la capitale du nord la Braderie de Lille. La direction m'a prĂ©venu assez tĂŽt qu'elle ne pourrait pas me reprendre pour des raisons Ă©conomiques. LĂ , c'est une petite Ă©quipe, familiale. TĂ©lĂ©charger. Celui qui a créé les fameux Dicos d’or se faisait largement dominer par la femme de sa vie dans certains domaines elle Profitez des avantages de l’offre numĂ©rique, Responsable RĂ©gional des Ventes Menuiseries H/F, Stagiaire Capitalisation et Analyse des DonnĂ©es de Mesures CND pour CĂąbles en Exploitation H/F, Centre Français d’Exploitation du Droit de Copie, Guillaume Durand, le prĂ©sentateur de la matinale, recruter StĂ©phane Bern pour leurs aprĂšs-midi, Koh-Lanta» gaffes et stratĂ©gie en carton pour cette rĂ©unification, France 2 va arrĂȘter les jeux de Laurence Boccolini, Programme TV du vendredi 16 avril notre sĂ©lection, Nagui J’arrĂȘte Tout le monde veut prendre sa place», Mort de l’actrice Helen McCrory, la Tante Polly» de Peaky Blinders et Narcissa Malefoy» dans Harry Potter, Audiences radio France Inter solide leader, RTL et RMC en difficultĂ©, Franceinfo brille. DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE Depuis plus de 30 ans, Bernard Tapie file le parfait amour avec Dominique. A. On parle de l'actualitĂ© sans l'hystĂ©rie de ces grandes rĂ©dactions qui sont parfois des machines de guerre, avec 40 reporters sur le terrain. Toutes les vagues de l'ocĂ©an , de Victor del Arbol, Actes Sud noir "Un immense roman et mĂȘme un vrai chef-d'oeuvre. Article créé le 26/09/2018 Ă©crit par Clara Paban. Les Marseillais en dĂ©tiennent l’une des plus cĂ©lĂšbres de la bande FM, celle de Bernard Poirette, le colosse Ă  la voix suave, grave et chaleureuse. Bernard Laporte a rencontrĂ© sa femme Manon en 2007, et leur coup de foudre fut instantanĂ©. La fin annoncĂ©e de France 4 va ĂȘtre "rĂ©examinĂ©e", indique le ministre de la Culture Hana Kimura, catcheuse de 22 ans et candidate de "Terrace House Tokyo", est morte direction Europe 1 pour animer la matinale week end dĂšs le 27 aoĂ»t 2018. Il ajoute ne pas ĂȘtre fĂąchĂ© avec la radio du groupe LagardĂšre, oĂč il avait trouvĂ© refuge en 2018, en quittant RTL aprĂšs plus de 20 ans de matinale le week-end. Bernard Poirette,le ronchon mĂ©diatique. Jean-Pierre Pernaut de retour Ă  13 heures... sur Nostalgie ! Brise vue, brise vent, canisse et brande que choisir ? Le journaliste de 60 ans sera remplacĂ© par StĂ©phane Carpentier, qui Ă©tait dĂ©jĂ  Ă  la tĂȘte de RTL Midi et des Petits Matins . InterviewĂ© dans Le parisien, Bernard Poirette apprĂ©cie le ton posĂ© de la radio “Ce que j’ai toujours aimĂ© Ă  Radio Classique, c’est ce ton assez tranquille. Bernard Poirette avec Bertrand Piccard et Brigitte. C’était un ange dĂ©chu» qu’est-il arrivĂ© Ă  GĂ©rald Thomassin, acteur mystĂ©rieux au destin maudit ? Une prise de guerre pour Laurent Guimier rĂ©alisĂ©e dans un contexte de relance de la station du groupe LagardĂšre. Il est remplacĂ© par StĂ©phane Carpentier. AprĂšs plus de trente ans passĂ©s Ă  RTL, Bernard Poirette a rejoint Ă  la rentrĂ©e la matinale week-end de la concurrente Europe 1. Je ne connais pas Bernard Poirette, prĂ©sentateur des week ends de RTL. On parle de l'actualitĂ© sans l'hystĂ©rie de ces grandes rĂ©dactions qui sont parfois des machines de guerre, avec 40 reporters sur le terrain. Videos you watch may be added to the TV's watch history and influence TV recommendations. Bon plan CANAL+ Week-end sport exceptionnel F1, MotoGP, L1, TOP 14, Loto FDJ Participez au tirage exceptionnel de la Mission Patrimoine ce samedi, Des offres privilĂšges avec le Club Le Parisien. C’est la rentrĂ©e pour Eglantine EmĂ©yĂ© qui rejoint cette annĂ©e les studios de la rue Bayard. A la fois chaude et puissante, mise en valeur par une diction impeccable, celle de Bernard Poirette mĂ©riterait le label QualitĂ© France ». Pour en savoir plus sur la façon dont nous utilisons vos informations, veuillez consulter notre Politique relative Ă  la vie privĂ©e et notre Politique en matiĂšre de cookies. Ce que j'ai toujours aimĂ© Ă  Radio Classique, c'est ce ton assez tranquille. Plusieurs mois aprĂšs la sortie du livre de Camille Kouchner, La Familia Grande, Christine Ockrent s'est exprimĂ©e dans les colonnes de S, le magazine de Sophie Davant. You're signed out. Par Pierre De Boishue. A bord du Titanic, quand il a fait naufrage, j'aurais criĂ© Les femmes adultĂšres d'abord!" "Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maitre et le serviteur, c'est la libertĂ© qui opprime et la loi qui affranchit." C'est une page qui se tourne pour la premiĂšre radio de France. Si Bernard Tapie affronte la maladie depuis plusieurs mois, de son cĂŽtĂ©, Dominique Mialet-Damianos n’est pas en reste. Bernard Poirette, la voix libre de la radio. Le dĂ©part d'un historique. Voix emblĂ©matique de la radio Europe 1 depuis 2018, Bernard Poirette quittera ses fonctions dĂšs le 5 juillet prochain. J'apprĂ©cie la voix qui m'emmĂšne du Vendredi soir au Dimanche midi, au fil de l'actualitĂ©, j'apprĂ©cie le ton, la distanc Il sera le joker de Guillaume Durand, le prĂ©sentateur de la matinale, pendant ses congĂ©s d'Ă©tĂ©. Vous pouvez modifier vos choix Ă  tout moment en consultant Vos paramĂštres de vie privĂ©e. A. Bernard Poirette en fĂ©vrier 2018 aux Lauriers de la Radio et de la TĂ©lĂ©vision — Woytek Konarzewski/SIPA Le mercato radio n’est pas fini. Elephant Vitra Grand, Nanterre 92 Basket Recrutement, Du Verbe Au Nom Ce2, Tools Up Instant Gaming, Tu T'es Embellie Signification, Maritimo Sporting Cp Prediction, Le Savoir Synonyme, Pour En Arriver La, AprĂšs plus de trente ans passĂ©s Ă  RTL, Bernard Poirette a rejoint Ă  la rentrĂ©e la matinale week-end de la concurrente Europe 1. Au sortir de ses quelques semaines d’adaptation, il nous confie les secrets de son rapport Ă  la radio. La voix grave si reconnaissable de Bernard Poirette semblait destinĂ©e Ă  rĂ©sonner encore quelques annĂ©es dans les studios de RTL. Correspondant Ă  Moscou et Washington, anchorman dans les journaux, matinalier, chroniqueur, prĂ©sentateur de divers programmes
 Le journaliste sexagĂ©naire emblĂ©matique avait occupĂ© tous les postes, mais n’aura pas voulu du nouveau rĂŽle que lui proposait sa direction, plus Ă©loignĂ© des studios
 Il change donc de bord cette annĂ©e pour animer la matinale week-end de la station concurrente Europe 1. Du rouge au bleu, le dĂ©cor et les Ă©quipes changent, mais l’essentiel demeure, pour ce mordu de radio le micro ! Pour TĂ©lĂ©rama, il se confie sur son rapport aux ondes, non sans livrer quelques anecdotes sur sa carriĂšre. Pourquoi travailler Ă  la radio, et depuis quand ? Mon envie de radio est directement nĂ©e de mon parcours Ă  l’Ecole supĂ©rieure de journalisme de Lille. En deuxiĂšme annĂ©e, on pouvait choisir deux spĂ©cialitĂ©s ; la radio a Ă©tĂ© mon premier choix. Tout a basculĂ© le jour oĂč l’un de mes formateurs, Robert Boulay, nous a emmenĂ©s assister Ă  une matinale de RTL. On est partis de Lille Ă  3h du matin direction la rue Bayard. On s’est retrouvĂ©s en rĂ©gie, Ă©merveillĂ©s, Ă  regarder des gens comme Alexandre Baloud faire leur travail. Je me souviens, c’était une nuit chargĂ©e d’actualitĂ©, Bobby Sand, le grĂ©viste de la faim irlandais venait de mourir. C’est Ă  ce moment que je me suis dis ce sera la radio, et pas autre chose. Ce n’est pas une vocation que j’avais choisie d’avance aprĂšs un an de mĂ©decine et trois ans de sciences Ă©conomiques, j’avais bifurquĂ© vers le journalisme avant tout parce que je ne voulais pas m’ennuyer dans ma vie professionnelle. De quelle station ĂȘtes-vous l’enfant ?RTL bien sĂ»r, non pas parce que j’y ai travaillĂ© toute ma vie, mais parce que mes parents Ă©coutaient cette station. J’ai grandi Ă  une Ă©poque oĂč chaque foyer français avait sa radio prĂ©fĂ©rĂ©e ; nous, c’était RTL. On Ă©coutait d’autant plus la radio chez moi qu’on n’a pas eu la tĂ©lĂ© jusqu’en 1975. Pendant mes 17 premiĂšres annĂ©es, je n’avais donc que la radio et La Voix du Nord pour m’informer. “J’ai le sentiment d’avoir toujours eu un poste dans ma chambre.” A quel Ăąge avez-vous eu un poste de radio dans votre chambre ?Je me souviens bien de mon premier poste. C’était mon oncle, le frĂšre de mon pĂšre, qui me l’avait offert pour mes 7 ou 8 ans. C’était un transistor Grundig, le modĂšle Pim Boy. J’ai le sentiment d’avoir toujours eu un poste dans ma chambre. Maintenant chez moi, j’en ai un dans chaque piĂšce. Autrement chez vous, oĂč Ă©coutiez-vous la radio ? L’écoutiez-vous en famille ? Seul ?La journĂ©e, je l’écoutais avec mes parents dans le salon. Jamais dans la cuisine, car quand on mangeait, c’était sacrĂ©. Mon pĂšre Ă©coutait toujours le journal de 18h, avec Jacques Chapus. Moi, j’écoutais la radio tout seul dans ma chambre le soir, quand je n’avais pas envie de dormir. J’adorais Marche ou RĂȘve sur France Inter, de Claude Villers. Il reste un maĂźtre absolu pour moi. J’aimais aussi dĂ©jĂ  sur RTL Les Nocturnes de Georges Lang. Malheureusement, son Ă©mission est en voie de disparition et c’est trĂšs dommage, ça me fait de la peine pour lui [l’animateur, remplacĂ© en semaine par Caroline Dublanche, n’est Ă  l’antenne plus que trois soirs depuis cette annĂ©e le vendredi, le samedi et le dimanche, ndlr]. Si vous Ă©tiez une Ă©mission mythique ?AssurĂ©ment, Le Tribunal des flagrants dĂ©lires de Claude Villers sur France Inter. Je sĂ©chais mĂȘme pas mal de cours pour ne pas rater l’émission, et je peux vous dire que je n’étais pas le seul Ă  quitter l’amphi ! C’était Ă  pleurer de rire, il y avait un truc extraordinaire chaque jour. Ces mecs Ă©taient vraiment bons. “Quand Claude Villers parlait dans le poste, on n’avait pas envie d’aller peler des pommes de terre ; on l’écoutait.” De quel animateur ou journaliste radio auriez-vous rĂȘvĂ© d’avoir la voix ?Pardon de revenir encore et toujours Ă  lui, mais celle de Claude Villers. J’ai toujours considĂ©rĂ© qu’il avait la voix parfaite de radio claire, bien modulĂ©e, pas agressive. Il avait une voix qui capture, qui captive, et est aussi capable de faire voyager le soir. Bien sĂ»r, il y a plein d’autres voix formidables, mais lui, quand il parlait dans le poste, on n’avait pas envie d’aller peler des pommes de terre ; on l’écoutait. Bernard Poirette. Photo Jean-Francois Robert pour TĂ©lĂ©rama Votre premiĂšre expĂ©rience en radio ?Il y a eu bien Ă©videmment les exercices d’apprentissage Ă  l’école. Mais j’ai vraiment appris le mĂ©tier Ă  FrĂ©quence Nord, qui Ă©tait alors la premiĂšre locale lancĂ©e par Radio France. Je bossais le week-end lĂ -bas, c’était gĂ©nial, on faisait des flashs, des reportages
 Ce fut ma premiĂšre expĂ©rience pratique de radio. GrĂące en soit rendue Ă  Jean Colin, qui dirigeait la station. Un homme extrĂȘmement bienveillant et pĂ©dagogue. Je me souviens d’ailleurs que tout le monde lĂ -bas Ă©tait trĂšs accueillant. C’était un autre monde, tout Ă©tait plus cool qu’aujourd’hui, on n’avait pas de concurrence avec les chaĂźnes d’info en continu par exemple. On n’était pas 250 Ă  se disputer le mĂȘme bout de gras. C’est grĂące Ă  cette premiĂšre expĂ©rience que j’ai eu mon premier poste de salariĂ©, puisque j’ai Ă©tĂ© nommĂ© par la suite envoyĂ© spĂ©cial rĂ©gional Ă  Arras. Ce sont de bons souvenirs. Quels rapports entretenez-vous avec le micro ?Le micro est une prolongation de moi, et pour cela, il reste magique. Il y a des gens Ă  800 kilomĂštres de Paris qui ont une boĂźte en plastique et qui entendent quelqu’un leur parler c’est absolument magique, surtout pour moi qui ne comprends rien Ă  comment tout cela fonctionne. Et puis, il y a plein de micros diffĂ©rents, il faut savoir apprĂ©hender leurs particularitĂ©s. Les micros de RTL par exemple, sont tout petits, tout fins, cela permet de bien voir ses feuilles de notes. A Europe 1, ils ont des micros plus classiques, les gros micros d’origine de la radio, que j’aime beaucoup. Mais on a moins de visibilitĂ©, forcĂ©ment. En tout cas, le micro reste essentiel pour moi. Je respecte beaucoup le travail des rĂ©dacteurs en chef et des dirigeants, qui ne viennent plus tellement en studio, mais je ne pourrais pas assurer une fonction dans une radio sans causer dans le poste – RTL me proposait d’ailleurs un rĂŽle de ce type, que j’ai refusĂ©. “A Europe 1 tout est bleu, alors qu’à RTL tout est rouge.” Avec-vous le trac du direct ?Non, pas vraiment. Pour ma premiĂšre matinale week-end Ă  Europe 1 il y a quelques semaines, j’ai bien senti que le rĂ©sultat n’était pas parfait, car je n’étais pas complĂštement Ă  l’aise, un peu crispĂ©. Mais je n’ai pas Ă©tĂ© traumatisĂ©, mĂȘme si ici tout est bleu, alors qu’à RTL tout est rouge ! Et puis il faut le temps que l’alchimie s’installe, car il y a plein de choses Ă  gĂ©rer, de gens Ă  connaĂźtre, on n’est pas seul en studio. Donc on ne peut pas dire que j’ai un trac Ă  la Brel, qui avait les tripes nouĂ©es chaque fois qu’il devait entrer en scĂšne. En revanche, ça peut m’arriver de stresser quand je dois faire l’interview de quelqu’un qui m’impressionne, ou que j’imagine dĂ©sagrĂ©able. J’y vais un peu Ă  reculons, je m’en fais un monde
 souvent pour pas grand-chose ! Quelle radio Ă©coutez-vous le matin ?La mienne, c’est-Ă -dire celle qui m’emploie. Donc jusqu’à cette nouvelle saison, j’écoutais RTL. Maintenant, c’est Europe 1. Je ne connais pas les gens donc je les dĂ©couvre, et il y a beaucoup de grands talents. C’est la moindre des choses de savoir qui est Ă  l’antenne. Le reste de la journĂ©e, quand je ne veux pas Ă©couter trop d’actu, je me rabats le plus souvent sur Fip, qui reste une valeur extrĂȘmement sĂ»re. Quand Mathieu Gallet avait Ă©mis l’idĂ©e de fermer le rĂ©seau, j’étais d’ailleurs consternĂ©. Sur quels supports Ă©coutez-vous la radio transistor, baladeur, smartphone, ordinateur, tĂ©lĂ©viseur ?Uniquement sur un transistor ! Et l’autoradio de ma voiture. Je ne suis pas du tout au fait des nouvelles technologies. J’ai dĂ©couvert l’existence des podcasts natifs [diffusĂ©s uniquement sur internet, ndlr] il y a un mois. C’est trĂšs bien ce truc-lĂ , mais ce n’est pas pour moi ! C’est une bonne idĂ©e qu’Europe 1 en produise plusieurs cette annĂ©e, mais heureusement qu’ils ont d’autres auditeurs que moi, car sinon ils feraient faillite ! rires “Quand j’écoute Fip, ou des Ă©missions musicales, je cuisine.” Que faites-vous en Ă©coutant la radio ?Malheureusement, Claude Villers et sa bande ont disparu, car avec eux, j’étais capable d’écouter sans rien faire. Le matin, je prends mon petit-dĂ©jeuner, je me brosse les dents
 en montant le son suffisamment fort pour que ça couvre celui de l’eau ! Quand j’écoute Fip, ou des Ă©missions musicales, je cuisine. Le plus souvent du poisson et des salades de pommes de terre. Quelle radio ou Ă©mission n’écouteriez-vous pas, mĂȘme sous la torture ?Les Ă©missions d’empoignade avec des polĂ©mistes qui se hurlent dessus, ça ne m’intĂ©resse pas, je trouve ça vulgaire. Dans un talk, il faut que l’auditeur puisse s’y retrouver, et pour ça, laisser les intervenants dĂ©velopper correctement leurs arguments. A l’autre extrĂ©mitĂ© du spectre, je dĂ©teste les gens pseudo Ă©litistes qui dĂ©goisent pendant des heures sur France Culture. Bon, ça va beaucoup mieux depuis quelques annĂ©es, il y a des choses merveilleuses sur Culture. Mais quand je tombais sur cette frĂ©quence Ă  20 ans, je trouvais ça terrifiant. Votre pire souvenir de radio ?J’ai plein de souvenirs affreux, mais l’un d’entre eux m’a beaucoup marquĂ©. Ça devait ĂȘtre Ă  la fin des annĂ©es 1990, il y avait eu de grosses inondations du cĂŽtĂ© de NĂźmes. RTL m’a demandĂ© d’assurer le journal de 18h en direct du village le plus durement touchĂ©. Je suis parti en avion vers Montpellier avec un technicien et une tonne de matĂ©riel, on a dĂ» louer une voiture
 Les conditions Ă©taient terribles, et on n’a jamais rĂ©ussi Ă  obtenir la liaison satellite. C’était un jour sans. J’ai dĂ» tenir une heure d’antenne au tĂ©lĂ©phone, les pieds dans l’eau, Ă  jongler entre mes diffĂ©rents invitĂ©s. Je suis sĂ»r que les auditeurs se sont barrĂ©s au bout de dix minutes. Je suis rentrĂ© hystĂ©rique Ă  Paris, j’étais comme un fou furieux, frustrĂ©, Ă©nervĂ© de ne pas avoir eu les moyens techniques. J’ai dit que je ne referai jamais ça si on ne m’en donnait pas les moyens. Quand un truc ne va pas, je m’énerve trĂšs vite et trĂšs fort ; je ne suis pas du tout quelqu’un de patient. C’est un trĂšs mauvais souvenir. Un moment de radio que vous aimeriez rĂ©entendre ?Il y en a plusieurs, et ils sont tous liĂ©s Ă  de gros Ă©vĂ©nements de l’actualitĂ©. Il y a les tragiques, comme la prise d’antenne du 11 septembre 2001, pour les attentats des tours jumelles Ă  Manhattan. Je ne travaillais pas ce jour-lĂ , j’ai Ă©coutĂ© la radio toute la journĂ©e depuis le Sud-Ouest. Mais je prĂ©fĂšre me souvenir d’un moment heureux et profondĂ©ment bouleversant la chute du mur de Berlin en novembre 1989. J’écoutais les reporters depuis Moscou. C’était dingue, je mourais d’envie de les rejoindre, mais on m’avait demandĂ© de rester Ă  Moscou. On en Ă©tait encore aux balbutiements des chaĂźnes d’info tĂ©lĂ©visĂ©e, les images n’étaient pas terribles
 donc pour suivre les Ă©vĂ©nements en direct, il fallait allumer la radio. Pas BFMTV. Questions radio Europe 1 RTL Bernard Poirette Partager Contribuer Sur le mĂȘme thĂšme

qui est la femme de bernard poirette